Soumis par Wandrille le
En ce mois du Rosaire, prions Marie avec Mère Thérèse.
La première prière – Invoquer Marie – se trouve dans le petit carnet dont nous avons déjà parlé ces derniers mois, écrite au crayon à papier.
La seconde, qui a simplement pour titre « Prière », a été « écrite par notre vénérée Mère Thérèse la dernière année de sa vie à Fourvière, 1885, à Sr Claire » sur un papier.
Enfin, sur un autre papier Mère Thérèse avait recopié une partie de la Pratique de l’année 1883 donnée par la Supérieure générale à la Congrégation.
Illustration : Deux "Mois de Marie" de Mère Thérèse
Invoquer Marie
Regard de Marie, tournez-vous vers moi.
Bouche de Marie, priez pour moi.
Mains de Marie, bénissez-moi.
Cœur de Marie, aimez Jésus pour moi.
Pieds de Marie, dirigez-moi.
Souffrances de Marie, intercédez pour moi.
Prière
Dieu le Père, par Votre fille immaculée, exaucez-nous.
Dieu le Fils, par Votre mère immaculée, exaucez-nous.
Dieu le Saint-Esprit, par Votre épouse immaculée, exaucez-nous.
Ô Marie immaculée, priez pour nous.
Saint Joachim et sainte Anne, parents de Marie immaculée, priez pour nous.
Saint Joseph, époux de la Vierge immaculée, priez pour nous.
Saint anges, serviteurs de la Vierge immaculée, priez pour nous.
Tous les saints et saintes du Ciel, serviteurs de Marie immaculée, priez pour nous.
En union avec tous les saints et saintes du Purgatoire, nous Vous disons, ô Marie immaculée, priez pour nous.
Ainsi soit-il.
Prière écrite par notre vénérée Mère Thérèse la dernière année de sa vie à Fourvière, 1885, à Sr Claire.
A N.D. du Cénacle (extrait condensé de la Pratique de l’année 1883*)
Hommage de notre volonté propre, de notre amour propre, pour honorer la parfaite conformité à la divine volonté, l’amour divin qui embrasait son cœur, à la plus grande gloire de dieu
Renouveler souvent cet hommage pour obtenir que le titre de N.D. du Cénacle soit donné à Marie.
* Depuis le début de son mandat de Supérieure générale, Mère Marie Aimée souhaite que le titre de Notre-Dame du Cénacle soit reconnu par l’Eglise. Peu de temps après la mort de Mère Thérèse, elle y réussit et obtint même une fête et une liturgie à Marie sous ce vocable.
